L’enfance, l’espoir, la joie, le rire, ça semble tellement incompatible avec l’hôpital, le cancer, la souffrance.
LES CLOWNS DE L’ESPOIR osent passer le bout de leur nez rouge dans la chambre des enfants malades.
Ils le font avec délicatesse, avec tact, avec intelligence.
Ce sont nos héros, discrets, modestes, indispensables.
Parce qu’un sourire qui apparaît enfin, un éclat de rire qui surgit subitement sur le visage d’un enfant, c’est tout d’un coup l’espoir qui renaît, la guérison qui s’amorce, la vie qui gagne.
François Morel